Novelist Martin has a bad habit of always killing off his characters.

He can't help it. “No sooner had he reached the final chapters but the heroes of his novels died in his hands.”Here we are in the three movements of the world of Marcel Aymé: fantasy, the fantastic, but also perversion. Yet this time around the characters won’t be passive. They'll rise up from the words on the page. And, one day, one of them may well ring at the writer’s door and rebel against their creator.

Le romancier Martin a une fâcheuse manie: celle de faire mourir tous ses personnages.

C’est plus fort que lui. « Dès qu’il arrivait vers les derniers chapitres, les héros de ses romans lui claquaient dans la main ». Nous voilà entrés en trois mouvements, dans l’univers de Marcel Aymé. De la fantaisie, du fantastique, mais aussi de la perversion. Car les personnages du romancier ne vont pas se laisser faire. Ils vont sortir des phrases et du papier. Et un jour, l’un deux sonnera à la porte du romancier Martin et se révoltera contre son créateur…